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Prendre soin de ses reins
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Prendre soin de ses reins

Les reins ont donc un rôle majeur, et lorsqu’ils ne peuvent plus l’assurer, les toxines s’accumulent dans le corps, occasionnant des dommages irréversibles si aucun traitement n’est lancé à temps.

Je bois suffisamment.... et je mange sainement

Afin de faciliter le travail des reins, qui consiste surtout, à filtrer et réabsorber l'eau dans notre corps, on boit au moins 1,5 l d'eau répartie sur la journée. Si on fait du sport ou qu'on transpire beaucoup, on boit un peu plus. Et si on a déjà souffert de calculs rénaux, on est encore plus vigilant (surtout l'été et quand on voyage. Côté repas, on mange équilibré en limitant sa consommation de plats industriels souvent trop salés, ce qui favorise l'hypertension, un ennemi du rein. On fait la part belle aux fruits et légumes en privilégiant les aliments alcalinisants (nos reins n'aiment pas l'acidité !) comme l'ail, le chou, la carotte, la banane, le citron. Et pour éviter de fatiguer nos reins, on évite de manger de la viande, des œufs ou du poisson tous les jours.

Lutter contre la sédentarité

Pour préserver ses reins, il est essentiel de pratiquer une activité sportive. Elle permet, quel que soit l’âge, de réduire les risques de maladies cardio-vasculaires, de diabète, mais aussi d’obésité.

Gare aux substances toxiques

L’automédication est fortement déconseillée. Utilisés à forte dose ou à long terme, l’aspirine, ou les anti-inflammatoires non-stéroïdiens comme l’ibuprofène, peuvent être toxiques pour le rein. Même chose pour les laxatifs et les diurétiques. Il faut aussi éviter les herbes dites "soignantes", les compléments alimentaires et plus généralement tout produit dont la composition n’est pas clairement identifiée.

Je me fais dépister

L'insuffisance rénale ne provoque aucun symptôme perceptible avant un stade très avancé. D'où la nécessité de se faire dépister au moins une fois par an (bandelette urinaire, prise de sang). Ce dépistage peut se faire par la médecine du travail ou chez son médecin traitant. Si on a plus de 60 ans ou qu'on présente un facteur de risque (diabète, hypertension, maladie cardio-vasculaire...), une surveillance régulière est nécessaire.


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